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Armée US: Explosion des déclaration de santé de 941% en 2021 (par rapport à 2016-2020). 96% d’injecté covid

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Incroyable cet article de Francesoir! Nous qui n’avons pas de données de nos pays dits “Civilisés”, he bien voilà, il se trouve que l’armée US à une excellente méthode de suivis pharmacologique de ses troupes. Ce qui en découle est en train de créé un immense scandale aux USA, des avocats s’en occupe et la justice passera par là.

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Extrait:

Que révèle cette base de données ?

Une augmentation très importante des pathologies au cours de l’année 2021

Détaillant toutes les données qu’il prévoit d’utiliser pour l’ouverture d’une commission d’enquête nationale qui devrait se tenir devant un tribunal fédéral, l’avocat Thomas Renz annonce des chiffres très inquiétants pour l’année 2021, en établissant une comparaison avec les chiffres des années précédentes dont il fait une moyenne sur cinq ans, de 2016 à 2020.

Toute pathologies confondues, le nombre de maladies enregistrées était en moyenne de 2 millions par an, un nombre qui variait peu d’une année à l’autre. L’année 2021 a marqué un tournant puisque ce chiffre est passé à 21,5 millions pour les 11 premiers mois de l’année, ce qui représente une augmentation de 941%, alors que l’année n’était pas encore terminée. Cette explosion de la mortalité n’a pas eu lieu en 2020, année du Covid, mais en 2021, année de la vaccination de masse, les membres de l’armée américaines étant vaccinés à hauteur de 96 %. Il est important de comprendre que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes individuelles diagnostiquées avec diverses affections, mais le nombre total de codes de diagnostic renseignés. Une personne souffrant de maladie auto-immune va consulter plusieurs fois avec de multiples visites en ambulatoire ou hospitalisation, et ainsi accumuler plusieurs données de facturation médicale.

L’incidence des fausses couches dans l’armée a connu une augmentation de 300 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Celle-ci était de 1499 cas par an tandis qu’au cours des 10 premiers mois de l’année 2021, elle était de 4182. Un chiffre qui interroge, au regard des discours relayés par certains membres de la santé publique qui affirment que le Covid expose les femmes à un risque plus élevé de fausses couches.

Outre ces diagnostics, l’avocat est également revenu sur les problèmes neurologiques croissants, indiquant une augmentation de plus de 1048 % des pathologies neurologiques qui affectent les militaires, passant d’une moyenne de 82 000 par an à 863 000.

Par ailleurs, d’autres chiffres non mentionnés au cours de cette audience ont été confiés au sénateur Johnson, chiffres qu’il a indiqués dans sa lettre au Secrétaire de la défense Lloyd J Austin, le 1er février 2022.

Mais l’ensemble des pathologies ont été enregistrées par Thomas Renz dans un document qu’il met à disposition en ligne.

– Une augmentation de 2191% de l’hypertension
– Une augmentation de 894% des tumeurs malignes de l’œsophage
– Une augmentation du 680% de la sclérose en plaques
– Une augmentation de 624% des tumeurs des organes digestifs
– Une augmentation de 551% du syndrome de Guillain-Barré
– Une augmentation du cancer du sein de 487%
– Une augmentation de 487% des tumeurs démyélinisantes
– Une augmentation de 474% des tumeurs malignes des glandes endocrines
– Une augmentation de 472% de l’infertilité féminine
– Une augmentation de 468 % des embolies pulmonaires.
– Une augmentation des migraines de 452%
– Une augmentation du dysfonctionnement ovarien de 437%
– Une augmentation du cancer des testicules de 369 %
– Une augmentation de la tachycardie de 302 %
– Une augmentation de 269 % des infarctus du myocarde
– Une augmentation de 291 % des paralysies de Bell
– Une augmentation de 156 % des pathologies congénitale des enfants de militaires

Le cancer longuement évoqué lors de l’audition au Sénat

Regrettant que peu de personnes s’intéressent à l’augmentation de cette pathologie, Thomas Renz remercie Ryan Cole, venu témoigner au cours de cette séance de ce qu’il avait observé en tant qu’anatomo-pathologiste et de ce que certains de ses collègues oncologues et radiologues lui avaient rapporté ; des patients dont les cancers étaient contrôlés connaissent à nouveau une progression rapide tandis que certaines pathologies présentent des formes étranges plus difficilement identifiables.

Étayant les propos du docteur Cole, le sénateur Johnson raconte avoir été joint par des soignants qui ne veulent pas se faire vacciner après avoir observé la reprise rapide de certains cancers en rémission chez leurs patients.

Selon la scientifique Theresa Parks, ce phénomène pourrait s’expliquer par la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lie à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes pour réparer les dommages cellulaires. Cette protéine, dont le rôle est d’empêcher les cellules endommagées de se transformer en cellule cancéreuse, pourrait interagir avec la protéine Spike vaccinale, et ne plus de jouer son rôle de catalyseur de tumeur notamment en induisant l’apoptose (suicide des cellules).

Voir aussi : Covid-19 : Spike, ARN et “vaccins”… Et si on lançait les études préalables ?

Si ce phénomène était avéré, cela expliquerait l’augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancers, passant d’une moyenne de 38 700 cas sur les cinq dernières années pour atteindre les 114 645 au cours de 11 premiers mois de l’année 2021.

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