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Combien de temps la protéine Spike vaccinale survit-elle dans l’organisme ? Combien de temps l’ARNm survit-il ? Sur quelle durée peut-il être exprimé pour produire la protéine Spike ? Dans quels tissus se distribuent-ils ?

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Voici un article extrêmement intéressant de Francesoir concernant la protéine “Spyke” toxique induite par les injection génique. Donner un ordre aux cellules du corps de fabriquer une protéine toxique (pas du tout “désactivée” comme dans un vaccin classique) c’est une magnifique idée, mais connaître et savoir quand et comment cela s’arrêtera, ce serait bien.

France Soir a enquêter, il s’avère que personne ne le sait, personne ne conduit vraiment d’étude à ce sujet, surtout pas Pfizer. A l’heure ou l’Autriche annonce par la bouche d’un soldate en treillis de combat que l’obligation actuelle sera étendue à l’automne 2022 d’une 4ème dose obligatoire, des réponses à ces questions alarmantes devrait être trouvée d’urgence.

Mais cela ne semble pas trop inquiéter notre bon Alain Berset, si heureux hier soir à la télévision de “Sa” gestion extraordinaire de la crise. (il na pas mentionné en fait que c’est le virus qui est devenu de lui même beaucoup mois agressif).

L’article ICI

Extrait choisi:

Le remarquable travail bibliographique du Dr Jean-François Lesgards, publié le 20 août 2021, a clairement fait le bilan de la toxicité de la protéine Spike (et de sa sous-unité S1). Elle possède une action pro-inflammatoire, dont les conséquences peuvent être cardiovasculaires, neurologiques, cancérologiques ou auto-immunes, en particulier chez les sujets fragiles qui ont déjà un terrain inflammatoire [2]. Des inquiétudes avaient également été partagées par l’AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante) le 27 juin 2021 [2b].

Autre extrait:

Pour ce qui est de la protéine Spike, on peut relever une étude (in vitro) publiée le 13 octobre 2021 [16]. Ce travail conclut que la protéine Spike peut entraver les protéines BRCA1 et 53BP1. Ces deux protéines appartiennent à une série de protéines appelées les « suppresseurs de tumeurs » [17] [18]. Elles jouent un rôle dans la régulation naturelle des cancers potentiels.

Ce constat expérimental troublant pouvait être envisagé dès le 30 juin 2020. À cette date était publiée une étude (in silico), qui établissait que la sous-unité S2 de la molécule Spike du SARS-CoV-2 pouvait interagir avec les protéines suppresseurs de tumeurs p53 et BRCA1/2 [19]. Les auteurs de l’article concluaient à la nécessité de lancer des investigations sur l’impact du virus sur les cancers. Le questionnement similaire aurait dû sembler naturel en ce qui concerne la protéine Spike vaccinale.

Ces interrogations sur l’impact des protéines Spike sur les cancers (réactivations, rechutes, déclenchements…) semblent être restées silencieuses.

Dès le départ, s’interroger sur la toxicité de la protéine Spike vaccinale semblait évident. Ce caractère délétère s’annonçait dès 2005 (dans le cas du SARS-CoV-1). Dès 2008, des travaux alertaient sur la conception de « vaccins » s’appuyant sur cette protéine. Son rôle pro-inflammatoire apparait désormais indéniable. Dès lors, étudier la diffusion et la persistance de cette protéine suite à la « vaccination » aurait dû être un incontournable. La question de la diffusion et de la persistance de l’ARN messager vaccinal devait se poser également. Qui plus est : tant que cet ARN messager persiste, le corps peut relancer la production de la protéine Spike (production éventuellement déportée par rapport à l’injection). Sans maîtrise ni du délai ni de la quantité synthétisée in fine.

Le 8 juin 2021, le British Medical Journal relayait une pétition signée, entre autres, par le Dr Peter Doshi (senior editor au BMJ). Cette pétition demandait, entre autres, des études de biodistribution, de pharmacocinétique et de toxicité sur les « vaccins » ARN [20].

En effet, le rapport d’évaluation du « vaccin » Pfizer disponible auprès de l’Agence européenne du médicament (EMA) indique qu’aucune étude traditionnelle de pharmacocinétique et de biodistribution n’a été conduite sur ce candidat « vaccin » [1] [2] [21].

et encore un autre:

Combien de temps la protéine Spike vaccinale survit-elle dans l’organisme ? Combien de temps l’ARNm survit-il ? Sur quelle durée peut-il être exprimé pour produire la protéine Spike ? Dans quels tissus se distribuent-ils ? Peuvent-ils s’accumuler ? Quelles sont précisément leurs toxicités ? Quelles sont les conséquences en cas de transfusion sanguine ?

Cette précipitation déraisonnée pour un procédé aussi nouveau, conjuguée à l’omerta imposée aux traitements ambulatoires précoces et à toute chimioprophylaxie interroge [23][24] [25].

Actuellement en France, les rappels vaccinaux peuvent être administrés trois mois après la dernière injection [26], alors que la persistance de la protéine vaccinale pourrait être supérieure à ce délai. Le 11 février 2022, « le ministre de la Santé a martelé que le “raisonnement” sanitaire du gouvernement “[se faisait] sur les bases de la science” » [27].

Assurément, négliger la bibliographie, les études précliniques, pharmacocinétiques, de biodistribution et de toxicité : ce n’est pas de la science.

La science a mal d’être aussi peu honnêtement invoquée.

Quand on a mal, une solution peut être la médecine… La vraie.

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