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L’hypnose vaccinale de masse expliquée par le professeur Mattias Desmet

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J’avais déjà publié sur un article l’intervention de Mattias Desmet dans les audience du comité indépendant Covid de Reiner Fuellmich, mais il est tellement explicatif de notre situation que je ne peux m’empêcher de partager cet excellent article publié sur SOTT.net

Je pense que chacun à intérêt a lire et comprendre ces mécanismes fourbes, car nous sommes en plein dedans. J’entends à nouveau les mots “les cas augmentent” ces derniers jours, signe annonciateur s’il en faut que nos “maîtres” se rendent compte que l’Ukraine ne fait plus assez peur et qu’il y a besoin d’une autre source de crainte pour conserver le petit peuple dans la terreur, afin de pouvoir appliquer des mesures qui leur permettra de disposer de plus de pouvoir…

Message à ceux qui dorment: si vous ne vous réveillez pas, vous allez vivre l’enfer, vous et vos enfants. Il est temps.
Il nous suffit de ne plus accepter ces fables, nous voyons bien autour de nous que la vie est toujours la même qu’en 2015… depuis que nous avons levés les mesures en mars, en pleine hausse des cas (nous étions à 20’000 jours) tout est revenu à la normale. Confinement et masques, injections inefficaces ne servent a rien.

Extrait choisi.

Desmet dit :

« Les parents qui font piquer si avidement leurs enfants entrent dans la conscience de la foule qu’on appelle “formation de masse”. Ce changement social se produit quand il y a ou il y a eu une période de peur fluctuante, et c’est un pas sur la route vers un État totalitaire. Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population.

Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir “au bien de la collectivité”. (…) Ils ne sont plus rationnels ou critiques comme autrefois, ils ne suivent plus la logique ».

La raison pour laquelle tant de gens sont disposés à participer à ce délire collectif, « est que dans ce récit ils trouvent un nouveau lien social. La science, la logique et l’équité n’ont rien à voir avec tout cela ».

Desmet met en évidence la différence entre une dictature montante et le totalitarisme :

« En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes, son opposition, sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir complet, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour garder le contrôle. Dans un État totalitaire, c’est le contraire qui se produit. Cela est fondamental à comprendre, parce que dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est alors que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles ».