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Mehdi Belhaj Kacem : « Il n’y a pas eu de pandémie, mais un génocide est en cours »

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Voici encore un excellent article de Jean-Dominique Michel, écrit en introduction de la publication d’une lettre de Mehdi Belaj Kacem, magnifiquement “torchée”, en réponse a un courrier du maire pour essayer de convaincre sa population à s’injecter le poison génique.

Continuons à partager pour espérer tirer le plus grand nombre de la trame hypnotique dans laquelle ils reposent!

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Extrait choisi:

Aussi, me permettrai-je d’arroser l’arroseur que vous êtes : ce qui est « délétère et irresponsable », ce ne sont certainement pas les lanceurs d’alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le « plus grand crime contre l’humanité jamais commis », mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d’humilité, admettre qu’on s’est trompé (parce qu’on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l’histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l’occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s’est passé à cette époque là, sauf qu’aujourd’hui c’est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c’est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu’un petit bout de l’iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m’informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre « sommeil dogmatique », comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j’habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.