Nouvelles du 19 avril 2022
La Quinta Columna
Sources:
Je me permet de copier cet article ici. c’est un sujet qui fait vraiment flipper grave, plus je cherche plus cela semble très très cohérent hélas…
l’article:
Ce sont de nouvelles images proposées, le 19 avril, par Ricardo Delgado. [11]
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Long Interview de Mik Andersen, par Rich Planet, à propos de ce qui se trame avec les vaccins CoqueVide: Graphène, ADN synthétique, nano-technologies, adresses MAC, morgellons, etc
Un communicateur et un divulgateur de premier plan, Richard D. Hall, responsable du site et du programme RichPlanet.net, a contacté Corona2Inspect, en février 2022, pour interviewer Mik Andersen sur les découvertes, les indices et les preuves découlant de l’observation des vaccins du CoqueVide. Richard a produit un documentaire très complet et intéressant, intitulé “Brain Jabbed”, qui explique bon nombre des questions soulevées dans l’interview. À cette occasion, bien que tardivement, j’ai le plaisir de partager le texte de cette interview – qui est toujours d’actualité. Je profite de cette occasion pour vous remercier de votre travail et de vos efforts pour diffuser le travail effectué pour faire la lumière sur la vérité. Je profite également de l’occasion pour adresser un salut affectueux à tous ceux qui suivent le canal de Corona2Inspect, et les remercier de leur fidélité, malgré ces semaines d’apparente inactivité. Corona2Inspect est toujours actif et le travail d’investigation et d’analyse se poursuit. Merci à tous.
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Richard D. Hall. J’ai examiné les revendications et les indications au sujet des adresses MAC. Je me suis, alors, enthousiasmé parce que je pensais que cela prouverait, strictement, la présence de nano-technologie. J’ai donc conçu des tests pour investiguer Bluetooth sur des personnes vaccinées et j’ai, ainsi, réussi à tester 10 personnes vaccinées. Je n’en ai pas trouvé qui émettent des signaux Bluetooth. Je soupçonne que si les réseaux intra-corporels in vivo communiquent avec des systèmes externes, c’est peut-être avec des signaux 5G ou 6G, ou autre chose. Pourriez-vous nous donner des explications à ce sujet ?
Mik Andersen. En ce qui concerne l’adresse MAC, il est difficile de s’y attarder, car il y a des choses que nous savons et beaucoup de choses que nous ne savons pas. L’équipe française, dirigée par German Sarlange, a mené une expérience pour démontrer la présence/émission d’adresses MAC, via Bluetooth, avec des résultats positifs. Ce travail montre qu’une proportion significative des personnes vaccinées a émis ces identifiants MAC. Je considère que ce phénomène est réel mais les identifiants MAC doivent être déterminés avec les moyens et les conditions appropriés. Ce qui est vrai, c’est qu’une personne vaccinée n’émet pas toujours ces adresses MAC – qui sont visibles par le récepteur Bluetooth du téléphone mobile.
Tout cela est décrit dans la littérature scientifique, notamment dans les protocoles de nanocommunication sans fil DCCORONA [989] et EECORONA. [990] L’un des problèmes des réseaux de nanocommunication serait l’énergie limitée dont ils disposent pour fonctionner. Cela signifie qu’ils ne sont pas toujours allumés, en fonctionnement ou émettant des signaux. Cela ne se produit que lorsqu’ils reçoivent des signaux de l’extérieur du corps ou lorsque des informations sont recueillies et doivent être transmises. De toute évidence, ce comportement répond à un paradigme client/serveur, où le serveur de données est la personne vaccinée et où le client (encore inconnu) transmet la demande de données ou de tâches.
Il existe d’autres aspects à considérer dans cette affaire d’adresses MAC. Il peut arriver que la personne inoculée ne soit pas suffisamment énergisée. En d’autres termes, son réseau de nanocommunications peut manquer d’énergie ou certains de ses composants peuvent ne pas avoir fini de se former ou de se construire. Les dernières découvertes que nous faisons indiquent qu’il y a un auto-assemblage des composants. En d’autres termes, si les objets du réseau de nanocommunications intracorporel ne s’assemblent pas correctement, ou s’il y a un défaut ou une déficience, cela peut provoquer un dysfonctionnement. En fait, nous ne sommes pas surpris, puisque, chaque jour, une autre dose du vaccin est nécessaire.
En relation avec cette question des adresses MAC, j’ai mené une expérience avec mon téléphone portable sur un marché de Noël où j’ai obtenu des centaines d’adresses MAC, différenciées des téléphones portables des personnes vaccinées attendant dans les files d’attente des caisses. J’ai également testé dans des zones éloignées de la pollution électromagnétique et j’ai effectivement détecté des personnes vaccinées s’approchant de ma position. En plus de tout cela, il y a d’autres aspects à prendre en compte. Il s’agit du processus de ping/pairing des adresses MAC et de leur identification avec l’individu vacciné. On suppose qu’il existe un processus de ping par lequel les adresses MAC de la personne vaccinée sont transmises à une adresse IP distante via la passerelle (téléphone mobile ou smartphone le plus proche) de la personne vaccinée. Cette opération serait effectuée périodiquement ou récursivement, jusqu’à l’obtention d’un enregistrement des diffusions reliant les MAC de l’individu à un dispositif mobile avec lequel ils sont fréquemment envoyés.
En utilisant un algorithme statistique, on peut déterminer que les MAC 1, 2, 3, n… sont envoyés, 90% du temps, avec un appareil smartphone donné. Dès que cet algorithme est appliqué, on sait que ces adressses MAC correspondent à un propriétaire du téléphone ou du smartphone. À partir de ce moment, le réseau de nanocommunications intra-corporel, de cet individu, peut rester silencieux jusqu’à la prochaine demande. Toutefois, je n’exclurais pas que d’autres mécanismes, ou types de signaux, soient impliqués dans le phénomène MAC. Chaque jour, nous découvrons quelque chose de nouveau, et il semble évident que rien de ce qui a été observé ne devrait être dans les vaccins.
Je peux aussi vous donner des détails sur la nanocommunication dans le corps. Selon la littérature scientifique, il fait clairement allusion à des signaux de type TS-OOK qui seraient le protocole de transmission de données binaires. Si des indices de la communication TS-OOK pouvaient être obtenues à l’intérieur du corps d’une personne inoculée, ce serait une bonne preuve qui consoliderait ce que nous avons déjà observé par le biais d’images au microscope et de documents scientifiques.
Richard D. Hall. Quelle est, selon vous, la découverte la plus probante quant à la présence de micro/nanotechnologie corrélée à la nano-communication dans les injections de COVID-19 ?
Mik Andersen. Nous disposons de trois éléments de preuve clairs. La première preuve est la détection d’objets rectangulaires, et quadrangulaires, qui répondent à une morphologie de micro/nano antennes bowties ou de bowties à double et quadruple feuille – qui sont, explicitement, signalés dans la littérature scientifique, dans le contexte des réseaux de nanocommunication sans fil intra-corporels pour les dispositifs nano-électroniques. Les chances qu’une telle découverte soit fortuite sont équivalentes à celles de trouver une pièce de 5 cents sur Mars. Nous ne pensons pas qu’il s’agisse d’un cristal de sel, dont la forme fantaisiste donne lieu à un micro-rectangle de nœud papillon. C’est tout simplement très improbable. Notez que cette constatation ne peut être séparée de la phénoménologie des adresses MAC et de la présence évidente de graphène, déjà démontrée par le Dr Campra.
La seconde preuve est la détection d’objets dotés de circuits apparemment circonscrits qui présentent une forte ressemblance avec les circuits de démultiplication des nano-routeurs, parmi d’autres dispositifs encore non identifiés. Voir les images obtenues par la Cinquième Colonne et l’équipe de recherche néo-zélandaise.
Troisièmement, la localisation de la preuve graphique de l’auto-assemblage épitexial fondé sur des modèles d’ADN synthétiques ou artificiels [992]. Une nouvelle preuve de l’auto-assemblage, et de la nano-technologie de l’ADN synthétique, a récemment été obtenue en trouvant une correspondance exacte entre le type de cristaux formés dans les vaccins et ceux observés dans la littérature scientifique sur la nanotechnologie de l’ADN. Cette dernière découverte est sur le point d’être publiée, et nous espérons qu’elle permettra de lever définitivement tous les doutes à ce sujet.
Richard D. Hall. Avez-vous contacté quelqu’un dans le domaine des nanotechnologies, par exemple d’autres scientifiques, pour leur signaler les images ?
Mik Andersen. Pour des raisons de discrétion, je préfère ne pas le dire. Cependant, je peux vous dire que la communication et la divulgation publiques ont été boycottées par la censure. Récemment, l’ancien blog Corona2Inspect a été censuré puis fermé. Cela nous indique que ceux qui, en haut lieu, sont responsables de cette opération de vaccination mondiale, soit ne veulent pas que le débat scientifique ait lieu, soit semblent vouloir rendre difficile la communication des résultats et des découvertes qui sont publiés.
Lorsque cela se produit dans une affaire scientifique, cela montre qu’ils dissimulent la vérité, ou du moins que cela les met mal à l’aise. La censure a eu lieu sans aucune explication, argumentation ou raison concrète. En science, le désaccord est accepté, pour autant qu’il justifie et argumente une position et la défende avec des preuves. Dans Corona2Inspect, une tentative est faite pour justifier chaque déclaration écrite. En fait, on peut dire que les revendications de Corona2Inspect sont les revendications des auteurs des articles cités. En fait, il n’y a aucune invention de ma part. Tout est fondé sur la science publiée et diffusée par des revues scientifiques, dont la grande majorité est de renommée internationale. Je comprends que la communauté scientifique doit être alerte, attentive et prudente avec tout ce qui concerne le vaccin, surtout depuis que le Dr Campra a trouvé des motifs et des traces de graphène – ce qui a été divulgué dès juillet 2021.
Il faut également noter que, tout au long de la recherche qui a été développée dans Corona2Inspect, j’ai abordé des sujets allant de la biologie à la chimie, en passant par les neurosciences, la nanotechnologie, l’ingénierie des matériaux, la médecine, l’électronique, les télécommunications… Si vous remarquez, il faut la capacité de diriger et de coordonner les universités et les centres de recherche pour faciliter, ou du moins, permettre l’étude des flacons de vaccin de tous ces points de vue. Cependant, nous avons constaté et vérifié que cela ne s’est pas produit. Au contraire, les contre-analyses pertinentes pour reproduire le travail de Campra n’ont pas été autorisées. Cela a dû être fait en dehors des gouvernements et des administrations de chaque pays.
De toute évidence, ces politiques rendent la communication entre les chercheurs et l’avancement de tout travail ou preuve indépendante extrêmement difficile. Je profite, également, de l’occasion pour envoyer un message à la communauté scientifique afin qu’elle prenne la peine d’analyser les flacons de vaccin (échantillons des différents lots, depuis le début de la vaccination), afin de corroborer ce que Campra a déjà observé et, évidemment, de contribuer et de publier leurs évaluations et résultats de ce qui a été observé, sur la base de leur expérience et de leur domaine de connaissance. Ce travail est urgent et doit être produit et diffusé de manière souple, par le biais de formats de publication plus efficaces. Le format blog pourrait en être un exemple, mais je suis sûr qu’ils trouveront les plateformes et les médias appropriés pour le réaliser.
Richard D. Hall. Avez-vous trouvé des preuves de nano-lipides d’ARNm ou d’autres technologies de vaccination dans les images de microscope que vous avez étudiées ?
Mik Andersen. Malheureusement, je n’ai pas trouvé un tel modèle, mais je ne peux pas affirmer avec certitude qu’ils n’existent pas. En fait, le rapport préliminaire du Dr Campra confirme la présence d’ARN. C’est pourquoi d’autres yeux doivent examiner et analyser les échantillons de vaccins. Il est essentiel d’établir la vérité, quelle qu’elle soit, qu’elle nous plaise plus ou moins.
Richard D. Hall. Ou pensez-vous qu’il y ait de l’ARNm et de la nanotechnologie dans chaque vaccin ?
Mik Andersen. C’est une bonne question. Comme on le voit, il semble que tous les vaccins aient une solution aqueuse dans laquelle le graphène est présent. Cela a été vérifié dans le rapport final du Dr Campra. Nous pourrions concevoir cela comme une base commune. D’autre part, chaque vaccin semble avoir des “ingrédients” différents. En fait, il existe des différences entre les objets observés dans les différents vaccins. Cependant, il n’y a pas assez d’informations graphiques, à l’exception de la plus promulguée, celle de Pfizer.
Je veux dire par là qu’il est difficile de faire une déclaration sur la base du peu d’informations disponibles. Cependant, le fait que la présence de graphène dans les vaccins ait été dissimulée devrait être une raison suffisante pour mettre en doute les compositions officiellement déclarées de tous les vaccins et donc la présence du virus et bien sûr (si je puis dire) le “cirque” établi autour de la pandémie. Franchement, il n’y a aucune raison d’être confiant. Avec cette approche, on peut s’attendre à tout.
Toutefois, si vous me demandez mon avis, pour répondre à votre question, je pense qu’il peut y avoir de l’ARNm, la technologie CRISPR-Cas (pour l’édition de gènes), les nanotechnologies et aussi le graphène, les micro/nanotubes de carbone dans leurs variantes à parois simples ou à parois multiples. Je pense également qu’il existe un auto-assemblage synthétique, basé sur l’ADN, à partir duquel sont construits les composants et dispositifs micro/nano-électroniques. En fait, les nano-routeurs d’ADN synthétique peuvent être construits par auto-assemblage en origami, comme l’indique le projet CORDIS, financé par l’UE, pour le développement de nano-routeurs d’ADN, qui précise, je cite, que «l’objectif du projet nano-routeurs a été de concevoir des robots à l’échelle nanométrique, fabriqués à partir de molécules d’ADN synthétique, capables de rediriger la communication de cellule à cellule ; et d’en faire la démonstration dans un modèle cliniquement pertinent….. Les travaux menés dans le cadre du projet ont porté sur la conception de robots synthétisables à grande échelle entièrement constitués d’ADN (et n’incluant pas de médicaments chimiques ou de protéines, afin de préserver l’homogénéité des matériaux et la simplicité de fabrication) ; leur démonstration dans de multiples systèmes de type cellulaire in vitro et, enfin, leur démonstration in-vivo, a été achevée fin 2017».
Cependant, depuis 2017, différents modèles d’auto-assemblage ont été développés; il n’est donc pas exclu qu’une solution différente ait été élaborée pour chaque vaccin afin d’atteindre le même objectif. Quoi qu’il en soit, la recherche est encore ouverte et il est important d’envisager toutes les possibilités, en prenant toujours comme référence les preuves et les témoignages que nous contrastons, afin de consolider le terrain sur lequel nous marchons.
Richard D. Hall. Avez-vous une idée de la manière dont un si grand nombre de composants nanotechnologiques ont été fabriqués ?
Mik Andersen. Comme je l’ai indiqué précédemment, vous ne fabriquez pas réellement les composants nanotechnologiques déjà configurés. Il semblerait qu’ils soient auto-assemblés, selon un modèle ou une matrice d’ADN synthétique. En fait, le projet CORDIS, que je viens de citer, indique que l’ADN peut être synthétisé à grande échelle: il serait donc intéressant de poser cette question aux chercheurs de ce projet.
En tout cas, nous pouvons trouver la réponse à votre question dans la littérature scientifique, nous devrions examiner les travaux de Praetorius, et al. [978] intitulée “Production biotechnologique de masse d’origami d’ADN” où il est expliqué que l’origami d’ADN synthétique, utilisé en auto-assemblage, est conçu à partir d’une «nanostructure issue d’une très longue molécule d’échafaudage simple brin maintenue en place par de nombreux oligonucléotides de base simple brin courts… Seules les molécules d’échafaudage dérivées de bactériophages se prêtent à une production de masse évolutive et efficace ; les brins courts plus courts sont obtenus par une synthèse en phase solide ou des procédés enzymatiques coûteux… Nous montrons que des brins uniques d’ADN de longueur pratiquement arbitraire et avec des séquences pratiquement arbitraires peuvent être produits de manière évolutive et rentable en utilisant des bactériophages pour générer de l’ADN précurseur simple brin». Ce n’est pas moi qui l’affirme: c’est Praetorius et son équipe. En bref, il semble que ce ne soit pas un problème pour la science moderne, d’après ce qui est indiqué.
Richard D. Hall. Où pensez-vous que les nanotechnologies sont fabriquées ? Il doit y avoir une équipe travaillant secrètement pour produire les prototypes des injections nanotechnologiques.
Mik Andersen. D’après ce que l’on voit, clairement dans des laboratoires spécialisés… bien que je ne sache pas quel type de moyens sont nécessaires pour cela. Je ne peux pas imaginer à quel point cela serait sophistiqué, ou peut-être, paradoxalement, pas si sophistiqué. C’est une chose difficile à deviner. Quant aux lieux secrets, ils ne seraient pas surprenants, ou peut-être pas si secrets que cela: par exemple, dans un parc industriel ou de bureaux, un laboratoire souterrain…
Il se pourrait même que de nombreux techniciens chargés de la production ne sachent pas à quoi serviront les composés qu’ils fabriquent. Quoi qu’il en soit, ce qui semble clair, c’est que les recherches de milliers de scientifiques du monde entier ont servi de base à la création de la nanotechnologie que nous voyons dans les vaccins, et bien sûr, la grande majorité d’entre eux n’auraient aucune idée de l’utilisation finale. En fait, dans presque tous les articles scientifiques que j’ai lus, j’ai observé que les buts et objectifs de la recherche étaient très louables et bénéfiques. Par exemple, la mise au point de traitements contre les maladies neurodégénératives, contre le cancer, ou la réparation des tissus, ou l’élimination des bactéries, l’amélioration du suivi des malades…
L’énergie nucléaire devait aussi être une avancée pour l’humanité, mais on sait ce qui s’est passé. Évidemment, il est logique de penser qu’il doit y avoir des scientifiques en charge de ces projets, qui ont une connaissance complète de toute l’opération, qui connaissent le but et les objectifs des vaccins, dans le détail, leurs implications politiques, économiques, stratégiques, et évidemment les conséquences sur la santé des gens… Tout cela, selon les directives données par des personnes encore plus importantes et ayant un plus grand pouvoir de décision dans l’échelle hiérarchique.
Richard D. Hall. Avez-vous une idée de qui est impliqué, quelles personnes, quelles organisations, quels pays ?
Mik Andersen. Je comprends qu’il est important de savoir qui ou quelles entités sont impliquées dans tout cela. Malheureusement, je n’enquête pas sur cette question, car c’est aux juges et aux procureurs de le faire, mais je suis au courant des hypothèses et des théories qui sont publiées à ce sujet. Je vais donc vous donner une opinion et j’espère que tous les lecteurs la prendront avec la réserve nécessaire, comme toute autre opinion.
Je crois qu’il s’agit d’une opération coordonnée au niveau mondial. Si vous regardez ce qui se passe dans tous les pays du monde, vous voyez les mêmes politiques et campagnes de vaccination sans discernement, les mêmes excuses pour la vaccination, les mêmes méthodes de diagnostic par PCR, les mêmes reportages, les mêmes histoires et les mêmes récits journalistiques, la vaccination est presque forcée, les voix critiques sont persécutées, aucun test officiel du vaccin n’est autorisé, les libertés sont limitées, le contrôle et la pression sur les personnes sont accrus, les statistiques sont manipulées, les données réelles sur les décès et les dommages sont cachées….. La même chose se produit partout.
Cela semble indiquer que presque tous les pays sont complices, ou sont d’accord pour mener la campagne de vaccination jusqu’à ses ultimes conséquences, sans tenir compte du débat et de l’analyse scientifiques (qui n’ont pas eu lieu) et sans tenir compte des décès et des souffrances qu’elle provoque. Il faut donc penser qu’il s’agit d’un phénomène global, à grande échelle, selon un plan parfaitement élaboré, des lignes d’action coordonnées… pour lequel les politiques et les dirigeants ont des raisons cachées qu’ils ne partagent pas avec la population.
Selon la situation géopolitique et économique qui façonne l’ordre mondial tel que nous le connaissons, il semble que les organismes supranationaux tels que l’ONU, et en particulier l’OMS, aient eu un pouvoir d’influence et de décision incontesté depuis le début de la prétendue “pandémie”. Il est fort probable que les responsables de ce qui s’est passé, utilisant la pandémie comme une excuse, le vaccin comme un instrument et la terreur comme un moyen de changer l’ordre tel que nous le connaissions, dans ce qui est maintenant connu comme le Nouvel Ordre Mondial, se trouvent aux plus hauts échelons de la pyramide du pouvoir.
Richard D. Hall. Quelle méthode pensez-vous que les systèmes intra-corporels des injections pourraient utiliser pour communiquer avec les systèmes externes ?
Mik Andersen. Selon la littérature scientifique, les réseaux de nanocommunication sans fil, pour les nanodispositifs, intracorporels ont deux objectifs clairs. Le premier consiste à surveiller et à collecter des données sur les paramètres, l’activité ou les données neurologiques, cardiaques, physiologiques de l’individu – en facilitant leur transmission à des serveurs, et des bases de données distants (sur Internet), pour former le Big-data et son analyse grâce à des logiciels d’Intelligence Artificielle. La seconde est d’interagir avec les individus, notamment dans la section neuronale et la psyché humaine.
Pour y parvenir, il existe deux théories de communication intra-corporelle. D’une part, la communication électromagnétique, qui vise à propager les signaux électromagnétiques, qui contiennent les données générées par les nœuds du réseau, vers l’extérieur du corps et également de l’extérieur vers l’intérieur du corps, afin de pouvoir interagir avec eux. D’autre part, il y a la communication moléculaire, dont le champ d’application est surtout orienté vers le système nerveux central et le cerveau en particulier. Ce type de communication est plus restreint mais a l’avantage de distinguer des aspects aussi remarquables que la sécrétion de neurotransmetteurs, et d’autres types de molécules complexes, qui sont générés dans la communication neuronale naturelle. La communication moléculaire et neuronale est complémentaire. En fait, ils sont utilisés en combinaison pour obtenir une image complète de l’état ou de la situation d’un individu.
Une fois que vous avez compris ces types de communication, vous devez savoir qu’il existe une topologie de réseau. Contrairement à notre réseau domestique ou professionnel, la topologie du réseau intra-entreprise est plus complexe et fonctionne avec plusieurs dispositifs essentiels. Tout d’abord, il faut des nœuds de base, des biocapteurs et des points quantiques de graphène, des nanotubes de carbone, qui s’étendent et se répandent dans tout le corps, y compris dans notre cerveau, grâce au fait qu’ils peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique.
Ces objets peuvent agir comme des capteurs qui collectent des signaux électriques, des impulsions ou des variations de tension, bref, des données de notre corps, des constantes, la composition du sang, l’activité cérébrale… et les transfèrent sous forme d’impulsions électriques à l’objet suivant dans la topologie, le nano-contrôleur ou le nano-routeur. Les micro/nano-routeurs seraient assemblés à partir de brins d’ADN synthétique et de graphène, ce qui leur permettrait d’être logés dans tout le corps, y compris le cerveau. Ils s’auto-assembleraient, ensuite, et commenceraient à recevoir les signaux émis par les nœuds et les biocapteurs.
Les adresses MAC sont configurées dans les circuits de mémoire – qui, selon nous, sont également construits à partir d’ADN synthétique et de graphène. Elles reçoivent, ainsi, les signaux électromagnétiques et les codent automatiquement en un autre type de signal, plus simple, appelé TS-OOK, qui transmet les données en binaire au niveau suivant de la topologie, la nano-interface. La nano-interface est un autre dispositif électronique auto-assemblé capable de coder les données binaires TS-OOK afin de les transmettre à l’extérieur du corps. Les nano-antennes plasmoniques permettent de relayer et de propager tous les signaux produits par le réseau intra-corporel, tant à l’intérieur du corps dans les régions locales qu’à l’extérieur.
Évidemment, la nano-interface transmet des messages avec des en-têtes très spécifiques par lesquels sont identifiés, le dispositif MAC, l’adresse IP à laquelle les informations sont envoyées et le contenu binaire avec les informations obtenues par les nœuds à la base de la topologie. Ces messages doivent être reçus par une « passerelle », c’est-à-dire un appareil mobile ou un smartphone (généralement désigné comme tel dans la littérature), qui dispose d’une connexion Internet et qui serait chargé d’acheminer le message vers sa destination, sans donner aucun avertissement à son propriétaire, en restant caché dans le trafic de données. En d’autres termes, tout téléphone mobile se trouvant à proximité de la personne vaccinée pourrait transmettre les données générées par le nano-réseau.
En raison de la sensibilité de l’information qui circule dans ce système, la sécurité constitue un aspect important qu’ils ont pris en considération. Il est donc normal que toutes sortes de mesures aient été créées pour limiter ce risque (Al-Turjman, F. 2020) et qu’il ne soit pas facile d’intercepter les communications. D’autre part, il existe le processus inverse de communication, la réception de signaux de l’extérieur du corps vers l’intérieur – plus orienté vers la neuromodulation, le contrôle comportemental et la neurostimulation à partir des nœuds, biocapteurs, nanotubes de carbone, logés dans le tissu cérébral.
Il existe des preuves dans la littérature scientifique selon lesquelles des zones du cerveau peuvent être activées sans fil à l’aide de ces nœuds, transducteurs et nano-technologies, ce qui peut affecter les schémas comportementaux, la possibilité de greffer des idées, prédisposer l’individu à certains sentiments et sensations, et probablement à des pensées. C’est évidemment un outrage à la liberté, au libre arbitre et aux droits les plus élémentaires et fondamentaux de l’être humain. Ce n’est pas pour rien que des lois sur les neuro-droits sont déjà en cours d’adoption, selon divers médias, comme dans le cas du Chili. Il ne s’agit pas seulement d’une déclaration d’intention, mais de la preuve que quelque chose d’aberrant a été réalisé.
Richard D. Hall. Si des personnes se sont vu injecter des micro/nanotechnologies, existe-t-il un moyen de détruire leur fonction ? Par exemple, avec une forte impulsion électromagnétique ?
Mik Andersen. Nous ne le savons pas encore, c’est une question de spéculation. Si le graphène peut être dégradé dans une certaine mesure, la nano-technologie qui se forme à l’intérieur du corps, selon l’auto-assemblage d’ADN synthétique, est un problème qui reste à résoudre. Je suis désolé de ne pas pouvoir donner de bonnes nouvelles, mais je ne connais pas encore de méthode concrète dans la littérature permettant de l’éliminer, même si je ne peux pas affirmer avec certitude qu’elle n’existe pas.
Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour pouvoir donner une réponse plus claire. Il faudrait probablement développer des techniques de biorestauration pour nettoyer et décomposer cet ADN synthétique. Probablement, paradoxalement, avec une autre injection de nano-technologie pour contrecarrer et nettoyer le contenu des injections précédentes. Cependant, il ne semble pas que cette solution sera apportée par les laboratoires pharmaceutiques au vu de ce que nous observons et de la méfiance et du rejet que cela engendrerait. En ce qui concerne l’impulsion électromagnétique, je crois savoir qu’elle peut désactiver l’électronique conventionnelle.
Si cela est vrai, il faut également considérer que les nano-dispositifs électroniques basés sur l’ADN synthétique, combinés au graphène et à l’hydrogel, tout en possédant des capacités supraconductrices, possèdent également des capacités plasmoniques et très probablement des capacités de Hall quantique. Cela signifie que cela pourrait bien provoquer une perturbation de leur fonctionnement, mais il n’est pas certain qu’elle soit permanente. Une expérimentation plus avancée est nécessaire pour donner une réponse plus claire. Dans tous les cas, une impulsion électromagnétique, en fonction de son intensité, pourrait également causer des dommages à la biologie de l’individu: ce n’est donc pas une solution sûre, du moins pour le moment.
Richard D. Hall. Pensez-vous que les antennes fractales pourraient être utilisées comme micro-antennes pour communiquer avec l’extérieur du corps ?
Mik Andersen. Effectivement, je ne pense pas que l’on puisse exclure cette possibilité. Dans cet article sur les fractales de graphène – l’une des premières identifications que j’ai réalisées – on trouve l’image d’un motif fractal qui s’est formé au cours du processus de séchage d’un échantillon de sang provenant d’une personne vaccinée. L’image a été obtenue et analysée par l’équipe allemande (Axel Bolland, Bärbel Ghitalla, Holger Fischer, Elmar Becker). Il est intéressant de noter qu’elle semble coïncider avec la cristallisation fractale du graphène. En approfondissant ce sujet, j’ai remarqué que les antennes en graphène fractal, et en particulier le développement des dendrites, étaient présentées dans la littérature comme la caractéristique clé pour améliorer, augmenter et mieux propager les signaux électromagnétiques.
À l’époque, je n’avais aucune idée que cela pouvait être lié au réseau de nano-communications sans fil intracorporel. Toutefois, cette découverte a permis de mieux comprendre l’utilité du graphène dans les vaccins. Non seulement il s’est avéré être une toxine très nocive, mais il semblait également évident qu’il était utilisé pour transmettre des informations/données sous forme d’antennes, avec le détail supplémentaire de la capacité d’absorber les radiations électromagnétiques et de fonctionner dans la bande THz. Ces données ont été fondamentales pour trouver les articles scientifiques qui traitent de la nano-communication in-vivo dans le corps humain, de tous les protocoles et procédures impliqués.
En effet, les antennes en graphène fractal offraient une qualité et une largeur de bande bien adaptées au trafic de données à l’intérieur du corps humain. Cela m’a ouvert les yeux et m’a fait comprendre que c’était très probablement la raison d’être des vaccins, sans en exclure d’autres, bien sûr. Par la suite, on a découvert que la littérature scientifique, et les images microscopiques, confirmaient l’hypothèse des nano-technologies en trouvant des nano-antennes plasmoniques, des nano-routeurs rectennas et, récemment, des cristaux d’ADN compatibles avec les nano-technologies.
Compte tenu de ces précédents, comme je l’ai indiqué, antérieurement, on ne peut exclure que de telles micro-structures puissent être utilisées pour transmettre ou recevoir des données en dehors du corps. Quant aux morphologies des micro/nano antennes, elles sont très variées. Dans la littérature, les micro/nano antennes sont triangulaires, en forme de T, en forme de L, en forme de H, en forme de U, en forme de C, et même en forme de croix fractale. [2] [3] [4] [5] [6] [7] De plus, ce qui pourrait être des micro-antennes en forme de C, L et T, ont été observées dans les vaccins. Il n’est donc pas exclu que de nouveaux objets et éléments, du réseau intra-corporel, soient localisés, au fur et à mesure des observations et de l’imagerie microscopique.
Richard D. Hall. Le Dr Franc Zalewski a affirmé avoir élevé une “chose” à trois pattes en la nourrissant d’oeufs avec du ruban graphite. Dans MS Saavedra 2014, il est affirmé que la croissance de la fibre de nano-carbone pourrait être réalisée avec du ruban adhésif. Pensez-vous que Zalewski faisait pousser une pieuvre de nano-tubes de carbone ? En fait, les allégations d’Hydra Vulgaris présentes dans les vaccins sont-elles en réalité des Octopus en nano-tubes de carbone?
Mik Andersen. Je pense que le Dr Zalewski a été impressionné quand il a regardé cela au microscope. Je pense que n’importe qui aurait cette réaction et ressentirait une grande inquiétude par la suite. D’après ce que j’ai compris, il a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a voulu faire prendre conscience que quelque chose d’anormal se passait avec les vaccins. Je pense qu’il l’a appelé “The Thing” pour le rendre viral et je pense qu’il a réussi à le faire et à sensibiliser beaucoup de gens. Toutefois, les images qu’il a présentées correspondent, selon moi, à des nanotubes de carbone à paroi simple, ou multiple, et à des nano-pulpes de carbone.
Les micro/nano-pulpes de carbone se développent à partir de de nano-tubes de carbone ainsi que de rubans de graphène – à condition qu’ils soient décorés d’autres matériaux qui agissent comme catalyseurs ou agents de nucléation. Ces matériaux permettent au carbone de se développer en plusieurs bras ou branches – qui ont été décrits comme des bras de pieuvre. Hydra vulgaris, également, a été mentionnés, mais la morphologie observée ne semble pas correspondre, pas plus que leur motilité, leur développement et leur croissance. À moins de trouver des preuves claires de leur présence, nous devons considérer qu’il s’agit très probablement de nanotubes de carbone avec des branches.
En fait, la présence de nano-tubes de carbone est tout à fait compatible avec le reste des preuves déjà observées concernant le réseau intra-corporel de nano-communications. Les nano-tubes de carbone constituent des éléments fondamentaux pour la neuromodulation puisque, dans leurs différentes variantes, ils peuvent être assimilés au tissu neuronal pour former un réseau neurologique artificiel, se superposant à celui que possède l’individu, développant les fonctions d’électrodes, pontant la conductivité neuronale et favorisant la neuromodulation et la neurostimulation.
Richard D. Hall. Le Dr Robert Young prétend, dans son rapport, avoir identifié un parasite Trypanosoma cruzi. En 2016, Huang, HW | Sakar, MS | Petruska, AJ | Pan’S | Nelson, BJ, discutent de la création d’une version synthétique de Trypanosoma brucei en tant que nageur qui, en apparence, est très similaire à Trypanosoma cruzi. Pensez-vous que le Dr Young ait pu découvrir un nageur synthétique ?
Mik Andersen. Je pense que c’est tout à fait possible. Ils ont une morphologie très similaire. Dans mon entrée sur les nageurs et sur la base de la littérature scientifique, il est expliqué que ces motifs correspondent à des rubans d’hydrogel et de graphène, dont le mouvement et la stimulation peuvent être produits à partir de champs électromagnétiques. Il ne serait pas déraisonnable de penser que ces objets pourraient être formés par auto-assemblage et ADN synthétique. Les hypothèses sur cet objet sont encore ouvertes.
Richard D. Hall. Les nano-tubes de carbone dans l’environnement. Les nano-tubes de carbone sont peut-être, déjà, présents dans l’environnement et ont des propriétés d’auto-assemblage. Avez-vous un avis sur leur relation avec le Morgellon ?
Mik Andersen. Une telle contamination ne serait pas exclue. On a trouvé des dizaines de brevets qui prennent le graphène comme composant fondamental pour le développement d’engrais, de produits phytosanitaires, de pesticides, de fongicides… Et les produits agricoles sont consommés quotidiennement par toute la population. En fait, il existe des articles scientifiques, comme celui de Wang et al., [8] qui étudient comment éliminer cette substance toxique, en partant du principe qu’«avec le développement rapide de l’oxyde de graphène et de ses produits connexes, l’oxyde de graphène peut être déchargé dans l’environnement naturel et causer divers problèmes environnementaux…… Cette étude a contribué de manière significative à l’élimination de l’oxyde de graphène de l’environnement aquatique et a fourni plus d’options pour l’élimination de l’oxyde de graphène dans sa gestion de la pollution».
Nous n’avons aucune raison de nous méfier des propos de Wang et de son équipe. On peut donc affirmer, sans risque de se tromper, que la pollution par les nano-particules existe, qu’il s’agisse de graphène, de nano-tubes ou de fibres de carbone de taille micrométrique. Un autre article très intéressant à cet égard est celui de Fadeel et al. [9] dans lequel il est noté que «L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène nécessite une évaluation approfondie de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des matériaux à base de graphène, ainsi que de l’évaluation du danger pour l’homme et l’environnement des matériaux à base de graphène à l’aide de systèmes modèles in vitro, et in vivo, dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux» – offrant un schéma très intéressant, voir la figure 1 ci-dessous.
En observant ce diagramme, nous voyons clairement les voies de contamination de l’environnement et d’empoisonnement de l’homme – par inhalation, ingestion et exposition cutanée. Fadeel et son équipe ne sont pas non plus soupçonnés d’avoir menti dans un article destiné à ACS Publications. La contamination par le graphène, ou les nanotubes de carbone, est donc une possibilité très réelle, tant par accident lors de leur fabrication, par biodégradation des appareils électroniques et des matériaux contenant du graphène, que par action intentionnelle.
Quant à la possibilité d’auto-assemblage de nano-tubes de carbone dans l’environnement, je l’imagine très probable, mais je ne sais pas, je n’ai pas d’images à analyser qui correspondent à des échantillons de particules en suspension. Je n’ai pas non plus les instruments ou un moyen de le vérifier de manière fiable. C’est en partie un jeu et une manipulation de la situation que nous vivons depuis le début. D’où la nécessité d’alerter les chercheurs indépendants sur le terrain pour qu’ils analysent les échantillons et mettent au point des méthodes permettant de diagnostiquer la présence de nano-tubes de carbone, de graphène et d’autres nano-matériaux. Il est clair que dans les solutions aqueuses, il semble plus facile de les analyser au microscope. Je suis sûr qu’il existe des méthodologies appropriées pour mener à bien de telles enquêtes. Au passage, concernant la contamination par les nano-matériaux tels que le graphène, les NTC et les fullerènes, je ne peux manquer de citer les travaux de Suhail et al. [10] qui, à l’époque, alertaient déjà sur les effets toxiques provoquant nécrose, apoptose et autophagie cellulaire, tempête de cytokines… effets compatibles avec le COVID-19.
En ce qui concerne les morgellons, je pense qu’ils sont assez similaires aux nano-tubes de carbone, à l’exception de l’échelle. En d’autres termes, les Morgellons seraient des tubes de carbone multi-parois ou des fibres de carbone à micro-échelle, de type nano-tubes de carbone à multiples parois. Comme nous l’avons expliqué dans mon article sur les nano-pulpes et les nano-tubes de carbone, ils peuvent se développer s’ils disposent de suffisamment de matière pour la nucléation – ce qui ne nécessite que des matériaux agissant comme des catalyseurs, du graphène ou des dérivés du carbone dans l’environnement et une température appropriée. Dans ces conditions, leur croissance, bien que lente, peut se poursuivre indéfiniment dans le temps. Cela pourrait expliquer la longueur qu’ils peuvent atteindre, ainsi que la coloration observée – rouge, bleu… qui dépendrait du matériau catalyseur – et les réactions qui se produisent à l’approche d’un champ magnétique ou lorsque leur température augmente drastiquement, en raison de leur nature piézoélectrique. Je pense que ce serait l’hypothèse la plus probable.