Le
jeûne est un système ancré dans nos gènes, il est donc simple de
le mettre en pratique. Beaucoup recourent à un centre spécialisé
ou effectuent le jeûne dans une retraite. Ces deux solutions ne sont
pas bon marché car souvent ce n’est pas forcément juste à coté
et l’hébergement coûte. Il serait dommage de se passer de cette
formidable possibilité de guérir juste pour une question
d’argent.
Avant de se lancer dans un jeûne, il est
important d’aménager le temps et les conditions nécessaires afin
qu’il se déroule dans les meilleures conditions.
Un jeûne thérapeutique doit se dérouler au repos pour laisser
un maximum d’énergie aller à la guérison du corps. Shelton et
Boudreau recommande un repos total durant le jeûne, même de rester
alité le plus possible. Avec mon expérience, je confirme moi aussi
cela : Plus on est actif, moins l’autolyse est efficace
(paradoxalement, mieux on se sent). Donc, avant de se lancer, il est
capital pour maximiser les chance de réussite de prévoir le temps
nécessaire et l’environnement du jeûneur.
Exemple
personnel d’organisation :
Les premiers jeûnes
ont été difficile. J’ai commencé par 5 jours, puis 7. Les
derniers ont été d’une durée de 21 et 28 jours, à l’eau, et
se sont très bien déroulé, en vivant à la maison, avec ma famille
qui continuait à vivre normalement, cuisiner et
manger. J’ai passé tout mes « repas »
(un verre d’eau) à table avec eux, sans avoir envie de manger,
malgré la vue de nourriture et l’odeur. Une petite balade tout les
jours avec le chien, du repos, se donner le temps de guérir.
J’ai
bien entendu investi mes vacances pour pouvoir le faire, je travaille
à temps plein.
Si certain d’entre vous aimerai
tenter l’expérience et avoir une personne expérimentée à qui
parler en cas d’inquiétude durant un jeûne, je donne volontiers
quelques conseils. Il suffit pour cela de me laisser un message par
le biais de l’onglet « Contact ». Je vous répondrai
rapidement et avec plaisir.
Bien à vous,
JFD