par James Corbett
Nous avons tous entendu parler des «vaccins» à ARNm maintenant. En fait, peu importe où vous vous trouvez dans le monde, et votre niveau d’attention aux turpitudes de Big Pharma et de ses plandémies frauduleuses, vous connaissez sans aucun doute des personnes qui se sont faites injecter avec cet ARNm COVID-19. Peut-être avez-vous vous-même été contraint de vous faire injecter.
Mais avez-vous entendu parler de la nouvelle génération de «vaccins» que Big Pharma se prépare à larguer sur le public au grand large ? Ils s’appellent ça les vaccins sa-mRNA (NdT : en anglais, self-amplifying messenger RNA, c’est à dire des «vaccins» toujours à ARNm ou ARN messager mais qui s’auto-amplifient, en français donc ARNm-aa…), on les appelle aussi des vaccins «Replicon» ou «réplicateurs» et ils ont déjà été approuvés au Japon, où ils sont supposés être injectés à commencer d’octobre 2024.
Si vous êtes préoccupés des dangers des «vaccins» à ARNm, vous devriez être plus que concernés et préoccupés par la menace posée par ces nouveaux «vaccins» réplicateurs (replicon) expérimentaux.
Examinons-nous tout cela plus en détail…
À moins que vous ne vous soyez planqué sous un caillou ces dernières cinq années, vous devez être au courant du désastre total du soi-disant vaccin à ARNm. Mais au cas où vous sortiriez juste de dessous ce caillou, l’heure est venue de vous relever et de vous mettre à la page sur ce qu’est effectivement cette technologie de «vaccin à ARNm» (NdT : partie intégrante de ce que nous qualifions ici, le fléau #1 de l’humanité : la nanotechnologie), sur aussi ce sur quoi les technocrates, les sbires de la bio-sécurité et les contrôleurs de l’humanité en herbe, sont si excités et sur le chaos que cela a déjà amené sur le public, partout dans le monde.
Dans l’épisode 392 des podcasts du Corbett Report sur «The Future of Vaccines», j’expliquais : «En contraste avec la vaccination, qui implique l’introduction d’un immunogène dans le corps, les injections ARNm cherchent à introduire de l’ARN messager dans le corps afin de «tromper» les cellules du corps pour qu’elles produisent des immunogènes, qui ensuite stimulent une réponse immunitaire».
Pour avoir une meilleure idée de ce que cela veut dire, vous pouvez regarder les vidéos explicatives variées qui ont été produites sur le sujet au début de la plandémie afin de vendre au public cette idée des dangereuses injections ARNm à thromboses et caillots divers.
Puis, allez voir la conférence du Milken Institute sur le «vaccin universel de la grippe» (Milken Institute talk on a «universal flu vaccine») qui eut lieu en octobre 2019. La discussion avait Anthony Fauci comme invité et Rick Bright à l’époque de BARDA et maintenant avec les Rockefeller, les deux comparses émettant l’idée de la nécessité d’une crise de santé mondiale afin de justifier du développement de ces vaccins dangereux et expérimentaux à ARNm… et ce juste avant que cette crise ne se matérialise comme par magie d’un mauvais bol de soupe à la chauve-souris ou un truc du genre…
Finalement, vous pouvez vous familiariser avec les montagnes de preuves de tous les dégâts et effets secondaires néfastes résultant des injections à ARNm, de décès par maladies cardiaques aux victimes de toute cause de mortalité en passant par les caillots de sang et autres substances, toutes ces blessures par «vaccins» et ces effets secondaires connus comme étant de «mort subite» («died suddenly»).
Mais une fois que vous aurez rattrapé le temps sur toutes ces données documentant le désastre «vaccinal» ARNm COVID-19, vous devrez tout balancer par la fenêtre. Voyez-vous, tous ces simples «vaccins» à ARNm font très «dernière pandémie», très «2020». Le prochain gros truc, ça va être les vaccins à la self-amplifying mRNA ou sa-mRNA (NdT : ARNm auto-amplificatrice ou ARMm-aa)
Alors, qu’est-ce que cette ARNm-aa et ces vaccins l’utilisant es «replicon» ? Pour avoir une réponse, vous pouvez vous tourner vers les études scientifiques et les articles qui ont été publiés sur ce sujet dans la dernière décennie, de «Self-Amplifying Replicon RNA Vaccine Delivery to Dendritic Cells by Synthetic Nanoparticles» (2014) à «Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases» (2020) en passant par «Rise of the RNA machines – self-amplification in mRNA vaccine design» (2023) – tout ceci va vous expliquer ce qu’est cette technologie dans une prose lucide, simple et facile d’accès…
… Non je plaisante ! Bien sûr ces articles sont saturés de techno-termes incompréhensibles du commun.
(…)
OK, alors allons-y de la version pour idiot de base du magazine Science : «The First Self-Amplifying mRNA Vaccine» :
«Une injection à l’ARNm auto-amplificatrice contient l’équipement nécessaire pour faire plus d’elle-même une fois la cellule pénétrée. Vous y parvenez non seulement en injectant l’ARNm pour l’antigène d’intérêt (comme ce qui encode la protéine spike du coronavirus), mais aussi des ARNm qui sont traduits en replicases protéiques qui à leur tour, vont produire plus d’espèces ARNm. Imaginez d’envoyer à quelqu’un une feuille de papier contenant des informations importantes et puis imaginez que vous leur avez envoyé tout un lot de feuilles de matériau qui peuvent s’assembler eux-mêmes et former une photocopieuse interne et produire encore plus de feuilles lorsqu’actif. Ceci semble bizarre et ridicule, mais Hé, c’est la biologie pour vous. C’est très très bizarre là en bas dans la cellule».
«Bizarre, vous avez dit bizarre»…
Bref, comme vous avez pu vous le figurer maintenant, il est de fait que les «vaccins» ARNm-aa ressemblent beaucoup aux ARNm… mais en pire. Alors que les injections à ARNm vous demandent de retourner régulièrement chez votre toubib pour vous faire réinjecter après quelques mois, les «vaccins» ARNm-aa seront… ben, auto-amplificateurs : donc ils ne vont pas seulement détourner vos cellules et les machineries pour créer quelque «protéine d’intérêt du moment», que Big Pharma désire, mais ils vont aussi créer des protéines réplicases qui vont produire encore plus d’ARNm qui feront encore plus de «protéine d’intérêt».
Pour ceux d’entre nous qui parviennent à éviter de tomber dans les pièges constants de la plus grande campagne propagandiste de l’histoire moderne et qui connaissent les injections à ARNm comme étant des armes biologiques qui ont déjà endommagés et tués des millions et des millions de personnes dans le monde, cette nouvelle technologie avancée d’ARNm-aa devrait être tout particulièrement préoccupante. Pourquoi ? Parce que cela vient non seulement avec les mêmes dangers que les injections précédentes à l’ARNm régulière, mais ces nouvelle injections présentent des risques additionnels associés avec le processus d’auto-amplification sauvage et incontrôlée (NdT : nous ne sommes pas convaincus ici que cette technologie soit «sauvage et incontrôlée» une fois dans le corps, il nous paraît au contraire qu’en tant que génération ARNm 2.0, elle sera plus intelligente et sans aucun doute mieux programmée voire programmable de l’extérieur…)
Comme l’explique le Conseil mondial de la Santé (NdT : l’anti-thèse de l’OMS, dont le Pr. Christian Perronne fait partie pour la France , mais aussi, les Dr Peter McCullough, Michael Yeadon, Meryl Nass, Ana Milhacea et les Pr / Dr Fukushima et Murakami pour le Japon) dans son communiqué «World Council for Health Raises Serious Concerns About 100-Day Self-Replicating ‘Vaccines’», il y a quatre préoccupations principales concernant cette nouvelle technologie.
1- Conséquences génétiques involontaires (NdT ; vraiment ?… l’idéologie derrière tout ça est eugéniste depuis toujours…) : des «vaccins» auto-réplicants impliquent l’introduction de matériel génétique étranger dans le corps. Il y a donc une possibilité que l’ARN auto-réplicante puisse interagir avec d’autres matériaux génétiques dans le corps, incluant les chromosomes humains, ce avec des conséquences imprévisibles (NdT : vraiment ? Si c’est programmé, nous avons ici affaire à de la nano-biotechnologie à IA, programmable et activante à distance, des matériaux nanotech qui réagissent in vitro et in vivo aux champs magnétiques…), incluant l’altération la construction génétique des individus et de leur progéniture.
2- Production de protéines imprévue : la translation intra-cellulaire des molécules synthétiques ARNm peut mener à un processus connu sous le nom de changement de cadre ribosomal dans lequel des protéines tronquées et modifiées peuvent être produites (Mulroney et al., 2023) Ceci peut avoir de sérieuses conséquences, incluant des réactions auto-immunes. De plus, la polymerase ARN alpha virus, qui est l’élément inclus dans ces «vaccins» auto-réplicants (Low et al., 2022) a une très faible fidélité (Poirier et al., 2016), ce qui veut dire qu’à chaque cycle de réplique, il y a de plus en plus d’erreurs (mutations) dans les séquences copiées, menant à une production de protéines aberrantes.
3- Préoccupations de sécurité : Les plateformes de «vaccins» ARNm ne sont pas sûres de manière inhérente et n’ont pas été soumises à des études sur les effets à long terme (Halma et al., 2023) ou à des études expérimentales sur la géno-toxicité, l’aspect mutagène, l’intégration génomique ou l’instabilité génomique (Acevedo-Whitehouse & Bruno, 2023). Les «vaccins» auto-réplicants ont toutes les chances de poser les mêmes dangers, mais ont en eux des problèmes ajoutés au fait qu’ils incluent la polymérise virale ARN (Lews, 2027), qui perpétue la production du codage antigène ARNm.
4- Considérations éthiques : avec les produits «vaccinaux» auto-réplicants, les personnes peuvent devenir de fait des usines de «production vaccinale» ambulante avec la véritable possibilité de transmettre, de «muer» le produit «vaccinal» à d’autres personnes au travers de leurs fluides corporels, gaz émis et contact physique. Ainsi donc, l’utilisation de produits OGM auto-réplicants en tant que vaccins soulève de vastes questions éthiques, particulièrement en ce qui concerne la transmission potentielle et involontaire de produit OGM (génétiquement modifié) à des individus qui n’ont pas consentis à les recevoir. Plus grave, est que cette technologie OGM d’auto-réplicants transmissibles mène d’elle-même à la production d’armes biologiques.
Étant donné les conséquences potentiellement catastrophiques de cette nouvelle technologie «vaccinale», vous pourriez assumer qu’il y aurait en place une période prolongée de scrutinité scientifique dans et par laquelle les effets potentiels sur la santé de cette nouvelle plateforme «vaccinale» seraient étudiés de manière scrupuleuse et particulièrement attentive.
N’est-ce pas ?
Et vous vous attendriez aussi à un très solide débat public sur les dangers potentiels que cette intervention médicale expérimentale est susceptible de produire, ainsi que de franches discussions sur la question de savoir si le risque en vaut la peine, si le jeu en vaut vraiment la chandelle.
N’est-ce pas ?
Le Japon au front
Bien sûr, il n’y aura pas d’étude scientifique sur une décennie, ni de vigoureux débat public au sujet des «vaccins» Replicon. Si vous lisez le Corbett Report, vous savez déjà tout ça. Mais pour clarifier, il est important de noter que ces injections ARNm-aa ne sont pas une vague idée, menace sur un danger potentiel futur. Ces injections sont déjà là, prêtes à l’emploi.
En fait, le Japon a gagné la distinction plus que douteuse d’être le premier pays au monde à approuver cette technologie «vaccinale» à ARNm-aa pour utilisation sur les êtres humains.
En novembre dernier, le ministère de la Santé japonais a approuvé le «Kostaive» pour injection intra-musculaire (alias ARCT-154), un «vaccin» à ARNm auto-amplificateur contre la COVID-19, qui nous assure dans son communiqué de presse du fabricant que : «le produit a obtenu (p<0.05) un plus haut taux d’anticorps durables contre la maladie originale ainsi que pour le variant omicron BA 4-5, comparé au 30 μg COMIRNATY®, vaccin approuvé à ARNm conventionnelle ciblant la COVID-19».
Tout ça vous fait flipper ? Relax ! Comme le fabricant (NdT : la branche Pharma du géant de l’alimentaire nippon Meiji) vous l’assure également : «La plupart des effets secondaires furent bénins ou modérés et éphémères et l’ARCT-154 n’a pas généré de sérieux effets secondaires».
Bien sûr, il y a eu un «évènement hépatique» dans la Phase III des essais du vaccin, ce qui fit dire à la revue Science «qu’il faudra observer cela alors que le vaccin sera diffusé dans une population plus grande». Mais ne vous inquiétez pas les gars. C’est probablement rien du tout. Faites confiance à la $cience™ !
Et devinez quoi ? Depuis que la version originale de Kostaive a été approuvée il y a juste 10 mois, le vaccin a déjà été mis à jour pour «protéger contre le JN.1 et la lignée des variants d’omicron». Ah oui, et cette mise à jour du «vaccin» ARNm-aa a déjà été approuvée par le ministère de la santé japonais.
Pourquoi ? Et bien d’après le dernier communiqué de presse du fabricant (latest manufacturer press release) :
«L’approbation est basée sur la preuve clinique soutenant la sécurité et l’efficacité du vaccin CSL and Arcturus Therapeutics’ sa-mRNA COVID-19, incluant les données publiées démontrant l’immuno-génèse supérieure envers Omicron BA 4/5 en comparaison des rappels de vaccins conventionnels à ARNm COVID-19 et le suivi de données démontrant une durée d’immunité allant jusqu’à un an».
Mais toute cette explication semble superflue à ce point. Pourquoi donc la mise à jour du vaccin a-t-elle été approuvée sans des années de tests rigoureux ?
Parce que nous sommes en 2024, voilà pourquoi !
Toutes ces années d’essais cliniques et d’études sur les effets à long terme sont si pré-plandémie. De plus, toutes ces études furent falsifiées par Big Pharma de toute façon. Donc les régulateurs japonais peuvent donc aller au plus court et mettre leur coup de tampon de validation grassement payé sur la nouvelle injection à caillot et autres concoctée par leurs maîtres, hop direct sans coup férir !
Le truc est que maintenant le Japon se retrouve au front pour la nouvelle attaque biologique. En fait, le plan de fabricant est de larguer ces nouvelles monstruosités à ARNm-aa fraîchement approuvées sur le public japonais dès le mois prochain, juste à temps pour la campagne de vaccination COVID-19 d’octobre.
Le Japon se défend
S’il est vrai que pour chaque action il y a une réaction opposée équivalente, alors on devrait s’attendre à une opposition en augmentation aux injections ARNm-aa au Japon, le premier pays au monde qui sera soumis à cette «nouvelle plateforme vaccinale». Et c’est exactement ce que nous voyons se produire.
De fait, ceux qui ont suivi les retombées de la dernières plandémie bidon en date ont peut-être noté une résistance des Japonais contre les excès de l’agenda bio-sécuritaire technocrate.
Ces derniers mois, un mouvement de protestation de plus en plus visible et vocal a commencé à faire les unes de presse dans le monde pour son momentum croissant dans la lutte contre la prise de pouvoir de Big Pharma.
En janvier dernier, il y a eu cette remarquable conférence de presse du «Vaccine Issues Study Group» du Japon, (remarkable press conference) qui a rassemblé un panel de médecins de haut niveau et de scientifiques pour sonner l’alarme au sujet des effets secondaires «sans précédent» des «vaccins» à ARNm.
En avril, il y a eu la toute aussi remarquable manifestation contre le traité pandémique de l’OMS (rally against the WHO’s proposed) qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes dans le centre de Tokyo pour appeler à un retrait immédiat du Japon de l’OMS.
Ceci fut suivi par la formation du «Mouvement National de protection des Vies contre l’OMS» japonais («National Movement to Protect Lives From the WHO») qui jure de lutter contre «le mondialisme malfaisant du capital de Big Pharma et ses agents de l’OMS» et de «protéger les vies des personnes» du «vaccin» Replicon, qui est vu comme «une 3ème bombe atomique» larguée par le gouvernement japonais contre son peuple.
Puis en mai, il y a eu une nouvelle grande manifestation contre l’OMS à Tokyo. Cette manif’ culmina dans un incroyable discours de l’ex-ministre des Affaires internes et des Communications, Kazuhiro Haraguchi (startling speech by Kazuhiro Haraguchi) dans lequel il narra sa propre bataille contre le cancer après avoir été injecté plusieurs fois à l’ARNm. «Deux des trois injections que j’ai reçues venaient de lots mortels», déclara t’il avant de physiquement présenter ses excuses au peuple japonais. «Je m’excuse auprès de vous. Tant de personnes sont mortes, elles n’auraient pas dû». Haraguchi termina son discours par un cri de ralliement très rarement entendu de la part d’un membre actif du parlement nippon : «Renversons ce gouvernement !»
Et juste le mois dernier, nous avons vu NHK, la chaîne de télévision nationale nipponne, diffuser une exploration en profondeur des blessures occasionnées par les injections ARNm (airing an in-depth exploration of mRNA vaccine injuries) après avoir reçu un déluge de requêtes pour qu’ils couvrent le sujet du point de vue de ses téléspectateurs. «Aujourd’hui, nous avons reçu plus de 2000 messages de téléspectateurs ; merci beaucoup» a déclaré l’hôte de l’émission sur NHK.
Deux jours après que le documentaire ait été diffusé, le ministre de la Santé japonais, Keizo Takemi, a opéré une dramatique bifurcation du mantra usuel du «sûr et efficace» de la propagande de Big Pharma/OMS : «Quant à savoir si les dégâts à la santé par la COVID-19 constituent des blessures induites par voie médicamenteuse, notre réponse à ce point est que nous désirons nous réfréner de faire des commentaires».
Maintenant, nous sommes au mois de septembre et il y a encore une tentative de résistance contre le déploiement du replicon au Japon. À la fin de ce mois, juste quelques semaines avant que le «vaccin» à ARNm-aa ne soit injecté dans les bras des citoyens japonais, la 6ème édition de l’International Covid Summit se tiendra à Tokyo. Ce sommet va rassembler des médecins et des professionnels de la santé venant du monde entier pour discuter de la menace présente et réelle de l’agenda de bio-sécurité de l’OMS / Big Pharma et des vaccinations à l’ARNm-aa. Ceci inclura une conférence pour les médias, une conférence publique et une conférence de presse à l’Assemblée nationale japonaise (NdT : la Diète) avant de culminer par une nouvelle manifestation géante dans le centre de Tokyo.
Si vous êtes à Tokyo ou environs du 25 au 28 septembre 2024, vous pouvez trouver les détails de ce sommet mondial ici (HERE). Si non, pas de soucis, je planifie d’y être pour couvrir l’évènement en personne (NdT : à savoir que James Corbett, Canadien, vit au Japon depuis plus de 20 ans, est marié à une Japonaise et a une vie de famille près de Tokyo)
Simultanément, il est grand temps d’être informé et de disséminer la parole au sujet de ces injections à ARNm-aa. Ceci constitue sans nul doute, la nouvelle grande menace pour la santé publique mondiale !
source : The Corbett Report via Résistance 71